TICKETS DISPONIBLES LE 27 SEPTEMBRE à 11H
SYLVIE KREUSCH + DIJF SANDERS
16 avril 2025 • Reflektor
- Portes • 19:30
- 20:15 • DIJF SANDERS
- 21:15 • SYLVIE KREUSCH
SYLVIE KREUSCH
L’artiste gantoise Sylvie Kreusch s’impose rapidement comme l’une des artistes les plus impressionnantes et les plus électrisantes d’Europe.
Sa musique et ses visuels avant-gardistes ont déjà fait tourner bien des têtes dans les domaines de la musique, du cinéma et de la mode. Kreusch est connue pour son lyrisme brutal et expressif et pour son oreille attentive aux styles expérimental et pop.
Au cours de la dernière décennie, Kreusch a fait ses premières vagues en jouant en Belgique avec le groupe d’art rock Soldier’s Heart et Warhaus, le projet solo de Maarten Devoldere de Balthazar. Après avoir sorti son premier EP BADA BING ! BADA BOOM !, sa vision artistique s’est pleinement épanouie en 2021 avec son premier album complet, Montbray, acclamé par la critique .
Sur son album Montbray, Sylvie Kreusch a illustré un chagrin d’amour avec le suspense et l’excitation d’un thriller d’espionnage. Dire que l’artiste belge a le sens du drame serait un euphémisme. Partout où Sylvie met les pieds, les superlatifs ont tendance à la poursuivre comme une traînée de feu. Lors de sa tournée à Montbray, elle a rôdé sur scène comme une femme de mystère internationale vêtue de pourpre, un être de pur celluloïd qui, d’une manière ou d’une autre, a trouvé le moyen de pénétrer dans notre monde tangible.
Mais il étaitunefoisune fille qui rêvait dans le grenier de sa grand-mère, ses yeux étoilés entièrement plongés dans une collection de bandes dessinées anciennes. Ces récits lumineux et fantastiques étaient pour la jeune Sylvie la porte d’entrée d’un lieu magique, loin des tracas quotidiens de la réalité. Chaque fois qu’elle tournait la page, elle s’émerveillait, découvrait de nouvelles possibilités et s’enthousiasmait.
Ce sont ces émotions audacieuses qui servent de fil conducteur au nouvel album aventureux de Sylvie Kreusch. Elle abandonne son statut de spectre de la nuit belge et troque ses mèches rousses pour une blonde pimpante. Enfin à la place du conducteur et de son amant, elle s’embarque pour un voyage à la poursuite de l’horizon où tous les fruits de la vie sont savourés et contemplés avec des yeux écarquillés et des lèvres pulpeuses.
DIJF SANDERS
Multi-instrumentiste et compositeur, David ‘Dijf’ Sanders combine un large éventail de styles avec une approche sans frontières, empreinte de mélanges multiculturels. Basé à Gand, l’artiste travaille en permanence sur divers projets, collaborations ou productions – il a récemment collaboré avec Warhaus, Sylvie Kreusch, MDC III de Mattias De Craene ou encore Wim Vandekeybus (Die Bakchen – Lasst uns tanzen), pour ne citer qu’eux – tout en continuant à sortir des albums solo remarqués.
Après Java (2017), véritable bijou éclectique salué par la critique et enregistré en Indonésie, Dijf Sanders se lance dans une nouvelle aventure musicale, cette fois inspirée par les cultures népalaise, tibétaine, chinoise et indienne. Il s’est rendu au Népal pour y faire des enregistrements de terrain et capter ses impressions, qu’il a ensuite transformées en un nouvel univers sonore en collaboration avec le batteur Simon Segers, le saxophoniste Mattias De Craene et le joueur de sitar Nicolas Mortelmans.
Son album Puja, le premier sorti sur le label Unday Records, est paru le 14 février. Préparez-vous à une transe sonore où se mêlent chants de moines, beats éclectiques et techno façon mantra. Namaste !